Stanley Allen Meyer (1940-1998) est un physicien américain (Ohio) ayant conçu un moteur à eau utilisant un système de dissociation des molécules d'eau pour en extraire l'hydrogène, nécessitant peu d'énergie à l'utilisation.
Stanley Allen Meyer et sa buggy 100% à l'eau
Si vous comprenez l'anglais vous allez être servi.
Meyer explique en détails comment il propulse sa voiture 100% à l'eau.
Les principes et tout le harware qu'il faut. Aujourd'hui nous avons des processeurs gros comme un doigt et pourrions largement réduire la quincaillerie qu'il a dû utiliser.
Qui a empoisonné Stanley Meyer ?
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Mais qui connaît Stanley Meyer ? Pourtant cet inventeur sera célèbre un jour, car son invention va révolutionner la planète. Car Stanley Meyer est l'inventeur du moteur à eau. Ne souriez pas... cette invention lui a couté la vie. Stanley Meyer n'est pas un scientifique, juste un inventeur génial. Il a imaginé extraire l'hydrogène de l'eau, par une application inverse de l'électrolyse, consommant moins d'1/2 ampère. Alexandre Tchernovsky (mort subitement en 1992) travaillait déjà sur ce qu'il appelait « l'énergie du vide » et avait mis au point un appareil produisant cinq fois plus d'énergie qu'il n'en consommait, suivi dans ces expériences par Hal Puthoff, qui appelle ça « energie du zéro absolu ». L'invention de Stanley va beaucoup plus loin : dans un bac en plexiglas, pourvu de barres métalliques, il verse de l'eau du robinet, alimente en courant (moins d'un demi-ampère, pour une fréquence de 20 000 hertz par seconde) Et ça marche : il fabrique plusieurs centaines de pour cent d'énergie de plus qu'il consomme, et produit de l'hydrogène capable de fondre l'acier. La température de l'eau contenue dans le container en plexiglas ne change pas. Son invention est donc un « séparateur d'eau », qui fractionne l'eau en oxygène et hydrogène. Pour s'en convaincre, il suffit d'aller visionner la vidéo de son expérience sur internet : leweb2zero.tv en tapant « moteur à eau » lire aussi la revue Air et cosmos, n° 1756, du 30 juin 2000. Il a mis des années a obtenir l'agrément des scientifiques, ceux-ci voyant d'un mauvais œil un chercheur, petit ingénieur, sans le moindre diplôme scientifique, venir leur voler la vedette.
Il y a toujours eu un large fossé qui sépare les inventeurs des scientifiques. Une équipe de scientifiques anglais a observé que Stanley Meyer a décomposé avec succès de l'eau pure en gaz combustible grâce à des impulsions à haute tension, et faible courant mesuré en milli-ampères. Ils ont remarqué que suffisamment de gaz était produit pour fournir une flamme qui a fait fondre instantannément de l'acier. La revue Eye-Witness estime que Stanley Meyer a développé un système électrique qui peut extraire de l'eau ordinaire (sans chlore !) des mollécules d'hydrogène et d'oxygène avec peu d'énergie, bien moins d'énergie que ce que requiert une électrolyse habituelle.
En septembre 91, Stanley Meyer a donc fait breveter son invention (aux Etats-Unis, au Japon et en Europe) et a tout de suite eu plusieurs propositions. On l'a poliment prié de laisser sa découverte dans un tiroir contre 1 milliard de dollars. Il a reçu aussi des menaces de mort. Bien sûr, imaginez la révolution que son invention va provoquer ! Car cette invention est une menace pour tout ceux qui vivent de l'énergie du pétrole, puisqu'elle mettrait l'énergie quasi gratuite à la portée de tous : pensez donc, toutes les sociétés qui vendent de l'énergie feraient faillitte !
D'apres Paul Czysz (ancien chercheur à la Nasa, et qui est en contact avec eux sur l'avancement de la recherche), la Nasa a passé un contrat avec Stanley Meyer. Mais en 2006, Stanley est mort empoisonné. Et son invention avec lui. Avant de disparaître, il avait installé un nouveau prototype de son invention sur un Buggy, le réservoir de celui-ci ne contenant que de l'eau.
Qu'importe, une brèche est ouverte, et les internautes peuvent même se procurer ses brevets en tapant sur un moteur de recherche le nom de l'inventeur. Il y a onze brevets déposés : leur liste est en ligne, et chacun peut se les procurer en écrivant à : « Commissioner of Patents & Trademark, Washington dc 20231 USA »